L’immobilier en Afrique est, depuis des années, l’un des secteurs les plus prisées des étrangers. Si pour les dirigeants Africain celui-ci n’est qu’un secteur de second ordre, les investisseurs étrangers ne le considèrent pas ainsi. Urgent est-il donc de repenser autrement ce secteur.
L’investissement dans l’immobilier : un must pour les africains
En Afrique en général et plus précisément dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, le logement constitue l’un des plus grands défis à relever. Avec la classe moyenne en pleine croissance, l’investissement dans le secteur immobilier s’avère très indispensable. Cela l’est davantage pour les pays qui font face à des difficultés économiques, environnementaux, sociaux et autres. C’est un pilier indispensable pour leur développement.
Pour de nombreux gouvernements, la question de l’investissement dans l’immobilier https://icietmaintenant.info/ n’a jamais été au cœur des débats urgents. Ils l’ont souvent relayé au second rang, car pour eux cela n’avait pas de grande importance. Mais avec la croissance de la population et pour assurer le développement économique du continent, les gouvernants devront désormais se tourner vers ce secteur en plein essor.
Un secteur cible des investisseurs étrangers
Si pour les dirigeants africains l’immobilier n’est qu’un secteur de second rang, pour les investisseurs étrangers par contre ce n’est nullement le cas. D’ailleurs, un bon nombre d’investisseurs venant des autres continents du monde grouillent vers l’Afrique. Qu’ils s’agissent des publics ou des privés, ils ont découvert le secteur de l’immobilier comme une mine d’or alléchante qu’il faille exploiter.
Dès lors, ils investissent de colossales sommes dans la construction de plusieurs types de bâtiments. Ils ont, de ce fait, érigé les standings, les hauts standings, les centres commerciaux, les complexes hôteliers et même des logements sociaux. La plupart d’entre eux viennent de l’Arabie-Saoudite, le Qatar, les Émirats arabes unis et autres. Ils ont couvert presque tout le sol Africain sauf la zone nord qui pour le moment est épargnée.